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                        LE  FROID  CONGELANT (anime en dessous)

Une certaine peur engendre une résonance particulière qui nous fait dire "ça m'a glacé le sang". Il s'agit là d'une sensation qui n'est pas trop grave et qui disparaîtra avec le temps. Celle qui cause des problèmes en revanche, c'est la grande peur qui fait résonner l'émotion au point de vous faire dire "ça m'a glacé les os". Il s'agit là d'un froid bien spécifique qu'il ne faut pas négliger et pourtant, c'est ce qui est fait. Pourquoi ? Parce que par le passé, on a connu le premier et pensé que le second ferait de même dans le temps, disparaître, il n'en est rien. Si vous avez connu les deux, vous pourrez reconnaître ce qui suit. Souvenez-vous, le premier vous a parcouru le derme et l'épiderme en donnant la chair de poule, d'où l'emploi du mot "sang".

Le second, vous l'avez senti se glisser à l'intérieur entre les muscles et les os, d'où la fausse expression. Pourquoi ? Ce froid provient d'une image semblable à celle de la mort imagée par des dires selon lesquels au moment de la mort, on sent un froid glacial. Je ne sais pas si cela est vrai car je suis vivant, mais cela l'est pour le problème dont je vous parle. Ce froid est congelant et pour toutes ces raisons, je le nomme le froid de la mort, plus exactement, le froid congelant de la mort.

Pourquoi fausse expression ? Parce qu'en vivant cette grande peur, plusieurs processus vont s'enclencher :

            1°  l'esprit organise la défense face à ce vécu, il tend le corps

            2°  l'émotion, en réagissant, engendre ce froid

            3°  dès son ressenti, l'esprit va crisper le corps

            4°  vous avez alors seulement l'impression que ce froid vous a parcouru parce qu'à présent

      vous ne ressentez qu'un certain frisson.

L'Esprit est trop absorbé à gérer la peur, le corps est trop crispé pour en sentir davantage d'effet. Nous verrons dans les cas exposés que ce froid ne s'est pas borné à vous traverser mais qu'il s'est bel et bien installé.

Quand je l'efface, il fait de même : il va me traverser en glissant entre les muscles et les os. A ces endroits, il n'y a pas spécialement de ramifications nerveuses et je le subis avec des sensations de douleurs bizarres, dont une très forte, principalement à chaque poignet, comme une douleur de rhumatisme à la limite de l'insoutenable. Nous sommes bâtis pour le supporter.

Il n'a pas de forme matérialisée mais simplement un aspect vague, même pour mon Regard. Pour en avoir une image, il faut se référer à une chambre froide dans laquelle on pourrait voir deux choses : une brume dans l'espace et du givre sur les parois. Je dirais de ce froid congelant que la brume est son aspect "gazeux", le givre son aspect "condensé".

Comprenons bien, la peur est une émotion de sensibilité dont on sait qu'elle n'est pas reliée directement à l'esprit, encore moins à l'Esprit. Comme ils sont tous les deux (surtout l'esprit) les garants de la VIE et que celle-ci refuse toutes les "formes" prises par la mort, ils "refusent" également la peur. Ainsi, ils ne veulent pas admettre le Son que constitue ce froid.

Sans qu'il prenne de forme matérialisée, on rencontre ce froid congelant dans d'autres cas, notamment dans celui qui est  expliqué plus loin au chapitre "entre les deux" (le bras accidenté). Il y a le cas de cette femme hyperémotive qui, en voyant son fils de seize mois malade et souffrant d'un problème de bronchite sans gravité, s'est laissée envahir par l'idée que son fils pouvait mourir. Certes, un fait extérieur a amplifié cette idée qu'il serait trop long d'exposer ici, mais à cause de cette idée, la peur est apparue et avec elle le froid de la mort qui a envahi tout le corps.

Elle est arrivée avec des symptômes de fatigue, des vertiges, des nausées. Pour moi, elle était en état de choc comme une personne qui a croisé le fantôme de la mort.     Haut Page

Il y a le cas de cette autre femme qui avait une peur bleue des dentistes et qui devait subir des soins sur deux dents. Le dentiste était tenu de lui faire des piqûres et la peur l'avait envahie. Elle est arrivée avec un blocage de la colonne et un syndrome de sciatique à gauche.

Dans les deux cas, il y a eu peur, avec une connotation mortelle pour la première, viscérale pour la seconde.

Pour la première, l'effet a été général mais moins important dans les muscles car elle exerçait un travail physique. Tout en la protégeant pour celui-ci, l'esprit a donc suggéré un programme. Mais pour cela, il a dû concéder du terrain en laissant ce froid toucher des parties comme l'estomac, le foie, les intestins, le diaphragme, ralentissant ou contrariant leurs fonctions, d'où les effets déjà cités.

Pour la seconde, les soins dentaires devant se situer dans la partie gauche de la bouche, vous devinez que le froid l'a touchée, et oui, à gauche !

Les deux cas qui précèdent expliquent l'installation du problème dont le processus est le suivant : la peur fait réagir l'esprit qui crispe les muscles et l'émotion fait apparaître le froid congelant (image et son de la cassette vidéo). Ce dernier agit plus fortement que le cataplasme givré du Kinésithérapeute. Par la suite, après le vécu, l'esprit relâchera sa protection en croyant que tout rentrera dans l'ordre ainsi que ce froid, puisqu'il vient de la sensibilité et qu'il est impalpable. C'est alors que très rapidement le froid pénètre et durci les muscles dans lesquels il sera comme figé, sans émaner…

- une chaleur se diffuse généralement ou irradie, ce froid pas du tout une fois dans la chair.

… Donc sans parcourir le corps mais en effectuant son action là où il se trouve : durcir par congélation. Dès lors qu'il a pénétré, son manque de propagation fait que nous ne sentons que la douleur du durcissement musculaire que l'esprit constatera. Curieusement sans savoir qui en est véritablement le responsable, c'est du moins ce qu'il veut laisser croire.     Haut Page

L'esprit n'étant pas l'instigateur de ce durcissement et comme il vient de quitter les muscles, il en cherchera la raison ailleurs, il n'a donc aucune communication avec les muscles touchés, - vous vous souvenez du va-et-vient - car ici : il y en a eu un pour la crispation mais aucun pour le durcissement. Fort heureusement, la Nature a bien fait les choses : nous avons des lignes de secours, les muscles sont reliés avec le cervelet qui a le devoir d'organiser les défenses en cas d'agression, en l'espèce, il s'agit bien de cela et il va se mettre en communication avec les parties agressées. Après un certain temps (dont j'ignore le détail mais qui se compte en heures), l'esprit va utiliser les "lignes" du cervelet pour entrer lui-même en liaison, donc passer par le cervelet.

A l'effacement, on obtiendra ainsi une décontraction en s'aidant de l'esprit mais vous comprendrez qu'il faudra user de diplomatie car il n'est pas maître du problème, il se borne à le gérer.  Il nous aidera si nous faisons d'abord comprendre au cervelet qu'une énergie de Vie va être en mesure de régler le problème de l'agression, pour être précis, en mesure de régler le problème de l'agresseur, le froid. Une fois que le cervelet a compris, la cessation de son action de défense, tout en restant en communication par simple "écoute et observation", nous intéresse car il abandonne en quelque sorte la priorité qu'il détenait sur l'esprit et sur tout le reste. En conséquence, les "lignes" de liaison étant moins encombrées par les messages, l'esprit va alors pouvoir intensifier les siens. Aidé par le magnétisme, les muscles accepteront de se détendre, mais en partie seulement car le froid est toujours là. A cet instant, le magnétisme n'aura réussi qu'à neutraliser sa partie condensée.

Peu importe de n'avoir à ce stade qu'une demi-décontraction car celle qui a été effacée, était l'autodéfense et avec elle, il aurait fallu des heures pour régler le problème en entier par le magnétisme animal. Par son absence, le problème devient simplement physique et le magnétisme a une excellente emprise dans ce domaine. A présent, nous pouvons passer au corps pour l'effacement total.

Le froid congelant (le Son) n'a aucune matérialisation, donc aucune ligne de liaison avec quoi que ce soit du corps. Le magnétiseur doit donc le faire passer à travers lui en le captant, plus exactement en l'aimantant à lui en ce qui concerne son aspect "condensé", et le faire glisser vers une extrémité du corps de la personne, en ce qui concerne son aspect "gazeux".      Haut Page

A chaque aimantation, les mains ne bougent pas immédiatement parce que deux opérations se succèdent : effacement du Son par captage du froid puis détente partielle du muscle qui reste en partie contracté physiquement (il y a des contractures en raison de son énergie). On recommence ces actions autant de fois qu'il est nécessaire selon l'étendue du problème.

Pour cela, on commence par le haut et l'on finit par le bas, partie par partie, c'est-à-dire en déplaçant ses mains car le captage ne dépasse malheureusement guère la superficie de celles-ci. L'effacement total s'effectuera en une seule longue séance et non en plusieurs, avec des passes de dix minutes par jour.

Comme il s'agit de votre corps, vous pouvez choisir les piqûres décontractantes mais je rappelle que :

            - le cervelet a priorité avec l'autodéfense

            - l'esprit n'est qu'en liaison

            - toute forme de mort ne peut être combattue que par la Vie

Le magnétisme mis à part, il ne reste que le dérivé d'une drogue car seule une drogue peut se répandre dans l'organisme lorsque toutes les fonctions du cerveau sont par ailleurs préoccupées, parce qu'elle agit comme une agression.

Les cas précités des deux femmes sont représentatifs d'une peur par l'idée. Ils ne sont pas à négliger mais on peut les considérer sans gravité dans le temps. En revanche, le cas où l'esprit a tout subi, sans rien voir venir, existe. Telle a été la situation de cette femme se trouvant chez une amie, et qui l'a vue se jeter du balcon situé au dixième étage, sans aucun signe avant-coureur. L'horreur a été si violente que l'Esprit, refusant d'admettre cette vision de la mort, "n'a pas voulu" gérer le choc et a envoyé dans la chair et le squelette - dans ce cas précis - toutes les émotions et les multiples images de mort.

J'ai eu à traiter des cas similaires mais qui heureusement n'ont pas eu la même Origine tragique.

Image de mort :

            - poumon brûlant pour ne pas sentir la fraîcheur de la Vie.

            - col utérin bloqué car créateur de la Vie par l'enfantement.

            - muscles crispés car animateurs du squelette.

Le squelette est une image basique de la mort en raison de la vue des "ossements" ; le corps n'est plus qu'un squelette sans chair et nous savons que sans elle, nous ne tenons pas debout, - d'où ou en raison de - l'image du squelette allongé dans une tombe. Donc :

            - blocage de la nuque pour avoir encore un certain maintien.

            - blocage en "V" du bassin. (l'entrejambe serré)

            - blocage ou crispation des genoux (grâce aux muscles).

            - blocage ou raidissement des chevilles.     Haut Page

Pourquoi et comment :

            - bassin en "V": pour deux raisons qui pour un tel cas restent associées, (j'écourte l'explication qu'il vous appartient d'élargir !). La première empêche de laisser entrer le spermatozoïde créateur, la seconde, de laisser sortir la création. Dans les deux hypothèses, il s'agit de la Vie, de ne pas la laisser entrer et ne pas la laisser apparaître. Ce qui est extraordinaire pour la seconde, c'est qu'il n'y a pas d'enfant dans ce bassin. Dans un choc violent, comme dans notre dernier exemple, l'Homme a la sensation de perdre toutes ses valeurs, la confiance disparaît, y compris celle pour son propre esprit, l'imagination prend alors le pas sur la réalité. Certes il n'y a donc pas de corps d'enfant mais sait-on jamais puisque l'esprit "nous (a) trompe(és)".

            - les genoux : étant enfant on a appris ou entendu le bruit d'un squelette de fantôme cognant ses genoux.

            - les chevilles : elles permettent l'équilibre et un corps sans pied n'est plus une Vie qui se tient debout. Se voir tomber serait donc mourir ; alors on se préserve de la chute en plaçant une grande force dans les chevilles.

La lecture développe notre intelligence et stimule en enrichissant notre imagination. Grâce au cinéma, il suffit de voir la multitude des images qui peuvent exister dans l'Esprit des Hommes.

Reprenons le dernier cas de cette femme dont l'amie... Tout de suite après le choc, son corps a été pris de tremblements dont on connaît médicalement la raison. Le Son a été si violent que le corps a vibré comme celui d'un Homme passant devant un baffle géant. Dans une telle épreuve, les nerfs sont mis à rude épreuve, on le comprend puisque nous savons que l'esprit est le gardien de la VIE et les nerfs, les garants de la survie. Ce n'est qu'après quelques jours (ou quelques heures pour ceux qui ont une très bonne maîtrise) que l'esprit réussit à reprendre un certain contrôle, mais les vibrations sont toujours présentes. Dans cette situation, nous n'avons pas trop de froid congelant mais plutôt des nerfs saturés, surchargés de leur fonction de survie et de tout ce qui a pu être imprimé et imprégné au cours du choc, leurs ramifications ont la même configuration.

Comme dans la deuxième partie des deux cas précédents, l'effacement se fera d'abord étape par étape, partie par partie et l'esprit ne pourra nous aider. Bien au contraire, il faudra le rassurer sans cesse car certes il constatera la disparition de l'image et du Son pour chaque partie traitée, mais n'acceptera de reprendre le contrôle qu'une fois que toutes les parties essentielles auront été traitées. On terminera ensuite par l'esprit. Encore une fois, on se doute que cela ne dure pas dix minutes, d'autant qu'après le corps, il faut traiter l'Esprit. Dans l'exemple précédemment cité, il m'a fallu dans un premier temps quatre heures en trois fois; j'ai laissé passer deux mois puis j'ai revu la personne une fois.      Haut Page

 
     
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