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La Vérité un Virus | ||
La Vérité est devenue une maladie. La recherche de la vérité fait naitre comme un virus dans notre Esprit. Ce virus va développer divers troubles dans notre corps, suite aux confusions qu’il aura provoquées dans notre Esprit. Ce virus est né il y a plusieurs siècles, mais c’est en ce 21e siècle qu’il voit son expansion se répandre et son activité s’agrandir. A notre apparition, il y a des millions d’années, les besoins de notre Vie, besoins tels que se nourrir ou faire face à notre environnement, ont enclenché dans notre Esprit un besoin de découvrir. Ce besoin a duré des millions d’années aussi. De découverte en découverte, il y a eu une accumulation de connaissances, dont l’apparition de la parole a permise de retransmettre. Notre Esprit imprégné, je dirai « imprimé », de toute cette connaissance, a commencé à réfléchir et ainsi développé le Savoir. L’apparition de l’écriture, en premier par imageries et ensuite par lettres, a facilité cette retransmission. Cinq siècles Av. J.-C. peu d’êtres avaient accès aux écoles. Cela n’a pas empêché qu’un ou deux de ces êtres soient élevés au titre de philosophe. Le premier reconnu, Socrate, puis un peu plus tard, Platon, qui lui sert de référence encore aujourd’hui. Cela n’était pas grave, il ne s’agissait que de philosophie. Mais voilà, ces philosophes dans leur réflexion ne savaient, ou n’ont pas su réfléchir sur les processus ou fonctionnement de leur propre esprit. Ne leur jetons pas de pierre ici, vous ne savez pas encore tout. J’ai exposé dans d’autres pages le processus de la réflexion de note Esprit. Principalement pour Descartes, le processus en 3D. Voir ICI. (la pensée en 3D) Sachant maintenant (si vous avez vu le processus ci-dessus) le processus en 3D de certains Esprits (car tout le monde ne sait pas s’en servir) et sachant que ces premiers philosophes transmettaient par la parole et non par écrit. Par la parole comme dans l’écrit, du fait que nous faisons appel à un savoir appris, notre esprit utilise alors le processus 2D. Et ces philosophes de jadis ne connaissaient pas la 3D. Donc nous n’avons aucun reproche à leur faire. La philosophie est de projeter son Esprit sur une réalité, afin d’en voir ou tirer une réalité plus expansive de ce qui est simplement vu ou lu, et ainsi classer ou ranger cette réalité dans un domaine ou un autre, ou la classer dans une catégorie. Ce n’est donc pas une recherche de la vérité. Ce qui découle ou ressort de la philosophie, n’est pas une vérité. Ce n’est qu’une réalité du temps (années ou siècles) dans lequel on se trouve, car l’évolution fait changer la réalité. Ce n’est pas moi qui ai dit ni écrit, mais je le cite : autres temps, autres mœurs. Je disais donc que ces philosophes ne connaissaient pas le fonctionnement de l’Esprit, ils ne savaient donc pas qu’ils étaient en train de préparer le cocon du virus dont je parle ici. Si philosopher utilise ou développe la 3D de notre Esprit, cela peut entrainer vers la 4D l’Esprit de ceux qui ne maitrisent pas. Et c’est cette 4D qui a fait naitre le virus. Explications : la 3D est un volume ayant ses limites. Un Esprit utilisant cette 3D garde en quelque sorte les gardes fous de la Raison. Raison qui, je le rappelle, est celle de la VIE et non de la connaissance. Mais la 4D fait sortir de ce volume, et donc plus de gardes fous. Lorsque j’ai commencé les écrits de mon site, je n’étais alors que magnétiseur-médium-voyant, il m’arrivait d’écrire tard dans la nuit, la fatigue aidant, sur mes trois facultés c’est la médiumnité qui restait éveillée, et elle s’envolait. Une fois reposé, la voyance qui elle est terrestre, me faisait rendre compte « du délire » de ma médiumnité. La médiumnité dans sa recherche, part comme un feu d’artifice, sans contrôle, vous sortez de votre sujet. Aujourd’hui mon état de chamane a fait agrandir mon volume, ce qui fait que la Raison de la VIE est présente, et on n’a jamais vu une médiumnité dépasser l’espace de notre galaxie. Peut être une imagination, mais là c’est autre chose. Revenons-en aux philosophes. Ce qu’ils ne savaient pas non plus, c’est que le fonctionnement de la pensée philosophique est linéaire ou sinusoïdal selon le sujet. Et sans maitrise, elle peut devenir verticale vers le haut. C’est ce qui est arrivé quelques siècles plus tard, l’Homme a voulu donner une origine plus mystique à sa création, et la religion est née. Il y avait bien le Bouddhisme depuis 3 000 ans, mais c’était à l’autre bout de la terre et s’apparentait plus à de la philosophie. Il y avait bien les dieux de Rome ou des Grecs, mais c’était ceux de l’envahisseur romain, et puis ces dieux là avaient une représentation Humaine, avec des drôles de jeux. Et voilà que la religion a lancé le nom du virus, vérité. Vérité, que l’apôtre Jean, et d’autres, dans ses évangiles n’a pas manqué de répéter sans cesse le mot vérité : en Vérité, en Vérité, JE vous le dis : Personne à moins de naître de l'eau et de l'Esprit, ne peut entrer dans le royaume de Dieu. (Jean 3, 5). Le virus est né. Chance pour nous d’aujourd’hui qu’il n’était pas encore dans la retransmission génétique. L’écriture n’étant pas encore ce qu’elle est aujourd’hui. Les écoles n’étant pas si nombreuses. Le développement des Esprits n’étant pas celui de presque tout le monde aujourd’hui. Le virus n’a fait que végéter doucement. Au tiers du 20e siècle, avec l’amplification de la presse dans un premier temps, de la radio dans un second et le média dans un troisième, le virus avait et a trouvé ses tremplins. Ce qui est grave pour l’arrêter maintenant et avec urgence, c’est que l’Humain n’est plus en quête d’un Dieu ou sauver. Non, il est en quête de ce virus de la vérité. Alors comme il n’est pour l’instant, que dans notre pensée, pas encore implanté ou imprimé dans notre Esprit, si tel était le cas, cela le rendrait transmissible à nos enfants. Nous voyons trop le mot vérité nous être asséné à toute les sauces. C’est qu’il fait choc lorsqu’il nous est prononcé ou lorsqu’il nous est présenté sous les yeux. Il fait acheter, il fait vendre, il rassemble, mais oui mon bon Monsieur, c’est la vérité pure, et comme on ne croit plus en grand-chose, nous bon Monsieur on s’accroche à ce virus-vérité. Lorsqu’un journaliste écrit ou dit : il n’a pas dit toute la vérité. Moi je lis : moi le journaliste qui ne connait pas toute la vérité je vous écris qu’il n’a pas dit toute la vérité que je ne connais pas. Donc le journaliste nous ment ! Puisque son rôle est justement de nous informer de la vérité. Lorsque je lis : la vérité c’est qu’il est coupable. Moi je lis : la réalité c’est qu’il est coupable. La vérité étant un acte, un homme ne peut être « un acte coupable ». Il peut être coupable d’un mauvais acte, mais là ce n’est pas une vérité, c’est une réalité puisque l’on désigne un fait. Dire que le ciel est bleu en un jour d’été, c’est dire une vérité de la réalité. Mais ce n’est pas la vérité comme on l’entend car un peintre ne verra pas que du bleu, tout comme un objectif qui capte tout le spectral des couleurs. Il y a aussi la Justice qui aide au développement de ce virus : Jurez sur la bible de dire la vérité, toute la vérité. Répéter une phrase qui a été emmagasinée dans la mémoire d’un être, mémoire qui se trouve dans le cerveau de cet être, être qui pense, qui réfléchit, qui a des sentiments, des colères, et autres. La Justice voudrait que cet être dise la vérité ? Moi je suis subjugué ! Qu’on lui demande de relater les faits, là je serais d’accord. Il en est de même pour ce qui est vu. On peut constater qu’il y aurait une vérité pour la justice, une pour la religion, une pour le commun des mortels, sans oublier celle pour les menteurs et autres. En l’an 2013, des astralités planétaires ont fait remonter des choses dans les mémoires. Au lieu d’être prises par notre Esprit comme un événement, elles ont été considérées par le virus comme une vérité. Si bien que les Esprits atteints par le virus-vérité, se sont retrouvés envahie par le stress, ou la déprime, ou l’angoisse. Oui tout cela pour la vérité. Comment en est-on arrivé à cela ? Par cette habitude aujourd’hui de tout amalgamer, de tout mélanger, voire tout compresser. Nous n’allons pas philosopher pour soigner, surtout pas, puisque c’est la philosophie qui a créé le cocon du virus. Pas non plus psychanalyser car la vérité a de multiples visages et pas de contraire. Non, nous allons pratiquer le principe des bases comme la VIE me l’a appris, et dont je parle dans le chapitre ICI (le principe de base comme le zéro et le un). Voyons cela. Quelle est la base de la vérité ? Elle est un acte. Dire une vérité, c’est faire un acte de vérité. Tout comme écrire vraie. Pour juger une ou la vérité, il faut pratiquer une forme de justice. Difficile à la pratiquer puisqu’il n’y a pas de loi ni de référence. Mais il nous reste comme le fait la justice dans une enquête, séparer ou réunir les éléments, selon les cas. Alors pour ceux ayant subi les astralités de 2013, séparez le mot vérité de votre souvenir. Séparer le temps de votre souvenir car nous l’avons vu « autres temps autres mœurs ». Séparer la réalité du vécu car la réalité c’est relater un événement mais sans sentiment, or le vécu en contient. Les deux premières séparations peuvent être réalisées du premier coup. La dernière beaucoup moins, mais on recommence aussitôt une fois calmé. Au besoin une troisième fois, une quatrième. Sachant qu’une vraie peine de Vie perd de son intensité en étant vécu, et que notre Esprit de Vie est très intelligent (je ne parle pas de l’esprit humain), je peux garantir qu’à la quatrième ou cinquième fois vous y arriverez. En faisant cela à la suite des unes des autres, et non le lendemain ce qui permettrait à votre programme de se recharger. Aparté : « autres temps autres mœurs » A cinq ans on croit au père noël, a douze plus du tout, à seize à son opposé, à vingt quatre au couple, etc. Quand vous aurez fini, vous penserez comme moi, que la vérité est un virus. Que la réalité est un fait d’un temps court, je parle une fois dans nos neurones de la mémoire. Si vous l’écrivez sur l’ordinateur, 50 Kilos au maximum et non compressé (je parle de relaté la réalité). Si c’est sur 10 feuilles, 100 grammes. Quant au vécu qui lui porte les sentiments ressentis, une fois séparé des images portées par la réalité, il sera plus léger, et vous pourrez alors séparer ce qui vient de l’esprit humain de ce qui est venu de votre vraie nature. C'est-à-dire séparer la fierté bafouée car c’est elle qui amplifie, au point de faire croire que la douleur est incommensurable ou que l’on nous a brulé au fer rouge à n’en plus finir. Ce qui restera du ressenti par votre vraie nature, il suffira de le laisser vivre car une fois vécu il s’estompe, et comme vous l’aurez sans doute vécu par la séparation citée plus haut (quand je parle des deux à cinq fois), il ne reste plus grand-chose. J’en ai déjà parlé par ailleurs, lorsque l’on laisse une vraie peine de Vie vivre, en six à huit mois elle ne devient qu’un mauvais souvenir dans notre mémoire, vidée de ses sentiments (s’il en reste, ce ne sera que du cinq pourcent). Quand vous aurez fini, vous ferez sans doute comme moi, changer les mots pour mettre les votres, ceci afin de ne plus vous faire fausser vos vraies valeurs, votre propre philosophie. Et ainsi transmettre à nos descendants un Esprit sans virus. Etant jeune j’ai lu du philosophe Claude Bernard : quand je trouve une vérité, je vais voir derrière s’il n’y en a pas une autre (enfin c’est comme cela que j’ai gardé ma lecture). J’ai aimé et gardé pour moi. Avançant sur mon chemin, j’ai fini par comprendre qu’en fin de compte, ce philosophe ne croyait pas en la vérité, mais en la réalité, car chercher derrière la vérité, c’est vouloir voir le vrai du faux, c’est vouloir voir la réalité de ce qui ne l’est pas. C’est exactement en séance ce que font mes yeux de naissance, ils séparent l’élément à traiter du reste, ils vont quelques fois derrière la douleur pour voir le vrai causeur de troubles. Et dans le cerveau des enfants qui ont été maltraités, voire « l’émetteur de son » se trouvant derrière l’élément raisonneur qui fausse le jeu. Après avoir brulé les onze millions de livres de la bibliothèque Nationale, je rappelle ma philosophie : La Vie se sent L’existence se pense. Donc la citation : je pense donc je suis. Oui il est dans une existence, mais pas dans la Vie. Et celle-ci : être ou ne pas être. Oui il est dans une existence, mais pas dans la Vie. Et celle-ci : je pense que c’est la vérité. Ou : c’est la vérité, je vous le jure. Ai-je besoin de me répéter ! Je sens que j’aime, je sens que je suis en colère, je sens que l’on m’aime, je sens la faim, je sens la soif, je sens que la moutarde me monte au nez, jamais je n’ai senti la vérité, etc. Oui vous êtes dans la Vie, merci pour ELLE.
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